L'épuisement... ça commence aussi par là.

Depuis le début de l’année, je suis très très occupée à créer, organiser, mettre en place mon activité à 100% dédié à votre bien-être et bizarrement, malgré le fait que j’ai deux fois plus de travail que d’habitude, tout est fluide, je ne ressens ni fatigue, ni lassitude, ni épuisement.

Pour tout vous avouer, si j’avais dû avoir le même rythme il y a quelques années, j’aurais fini par faire craquer la corde et récupérer, en même temps, un lot d’infections (rhume, gastro, grippe), de blessures dans mes pratiques sportives ou un mal de dos carabiné à force de travailler sur mon ordinateur.

Pourquoi cette différence entre la situation d'avant et celle d'aujourd'hui ?

La prise de conscience…

J’ai pris conscience de mes limites au fur et à mesure que je les franchissais dans la douleur.
J’ai pris conscience de mes limites, et de ce que je pouvais mettre en place pour ne pas les dépasser, et reconnaitre les signes avant-coureurs.

J’ai appris à désamorcer mon stress avant qu’il n’arrive.
Et savez-vous comment ?
Je vous le donne en mille Émile...en m’écoutant.

Facile non ?
Non, pas tant que ça… nous sommes conditionnées à porter notre attention à l’extérieur de nous-mêmes, pour satisfaire les besoins de notre famille, de notre travail, soutenir nos parents… Tout est bon pour éviter de s’écouter (on ne sait jamais, on risquerait de découvrir des choses).

Dans mon cas, le message arrive d’abord de mon ventre (tiens tiens, le revoilà celui-là).

C’est un peu sournois au départ, comme une légère oppression, une respiration moins ample, et le ventre contracté en permanence.

C’est l’étape 1.

Si je n’écoute pas et continue : cela remonte à la cage thoracique, aux épaules, à la tête avec l’impression de ne vivre qu’avec ma tête.

C’est l’étape 2.

Là, si j’insiste vraiment, arrivent la frustration, la colère, l’énervement, l’hypersensibilité… et blam, la petite maladie et le repos forcé.

C’est l’étape 3, l’accumulation qui conduit au déséquilibre.

Donc, si vous avez bien suivi, tout peut commencer par le ventre, par les digestions alimentaires et émotionnelles.

Qu'est-ce qui peut conduire à l'épuisement et qui commence dans le ventre ?

  • Une surcharge du foie : les excès de médicaments, d’alcool, d’aliments gras ou industriels forcent notre foie à travailler davantage, ce qui peut conduire à de la fatigue.
  • Un déséquilibre dans le microbiote intestinal : une étude réalisée chez les personnes souffrant de fatigue chronique, a montré qu’il y avait moins de diversité dans les espèces bactériennes présentes que chez les personnes en bonne santé.
  • Un environnement stressant qui conduit à une mauvaise assimilation et digestion des aliments.
  • Le lieu de travail, son environnement et la profession exercée peuvent développer du stress ou l’épuisement du système nerveux. Les systèmes nerveux et endocriniens contrôlent la digestion et l’assimilation des substances nutritives et même si notre alimentation est saine et adaptée (alors imaginez quand ce n’est pas le cas), les niveaux trop élevés de stress sont préjudiciables à la bonne utilisation de l’alimentation.

Très bien me direz-vous, mais je fais quoi, moi, maintenant ?

Étape 1, avant de mettre en place quoi que ce soit, écoutez et observez-vous. 

Observez ce qui déclenche chez vous de l’anxiété, du stress, une mauvaise digestion. Observez les réactions de votre ventre, votre deuxième cerveau…

Étape 2 : priorisez. 

Vous ne pouvez pas tout faire en même temps, traiter tous tes messages en même temps, faire toutes les tâches en même temps. Désactivez les notifications et concentrez-vous sur une tâche, puis l’autre. La dispersion mentale, en papillonnant d’une activité à l’autre, que ce soit à la maison ou au travail, est une plaie pour votre organisme.

Étape 3 : prenez du temps pour vous. 

C’est non négociable. Du temps pour respirer, aller marcher un peu, faire un cours de yoga, une méditation, un soin… n’importe quoi, du moment que c’est pour vous, et que cela permet de vous retrouver.

Même quelques minutes par jour suffisent.

Il vaut d’ailleurs mieux être régulier,  20 mn par jour, qu’une seule fois par semaine, à fond, pendant 2h.

Dans Le COCON, nous essayons semaine après semaine de mettre en place de nouvelles habitudes pour soi, en posant les bonnes bases,  pour une prise de conscience, en douceur de votre bien-être.

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